Une étude entreprise à partir de la base du système national des données de santé (SNDS) sur une cohorte historique de 31 792 patients atteints de PR exposés aux biothérapies conclut que « le risque de cancer global, de tumeur solide, de lymphome ou autre hémopathie n’est pas majoré chez ces patients en comparaison de ceux ayant reçu un traitement de fond synthétique », se félicite le Pr Raphaele Seror (Hôpital de Bicêtre, le Kremlin-Bicêtre). Il n’a pas non plus été noté de différence sur ce point entre anti-TNF et autres biothérapies (rituximab, abatacept, tocilizumab, ustékinumab, anakinra), ou, à l’intérieur de la classe des anti-TNF, entre anticorps anti-TNF et récepteur soluble (étanercept).
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