"Ce risque est observé avec les anti-PD1, en cas de combinaison de plusieurs inhibiteurs", explique le Dr Bodez du Centre cardiologique du Nord, Saint-Denis. "Le diagnostic, malheureusement difficile, requiert examens électrique, biologique, morphologique, car une altération de la FE n’est présente qu’une fois sur deux". La détection d’anomalies électriques, d’une myosite associée, entrainant la réalisation de biopsies musculaires, peut faciliter cette identification. "Le traitement, qui pour l’instant repose sur les corticoïdes à fortes doses, parfois associés aux immunosuppresseurs, devra être rapidement proposé". Récemment, une patiente a été sauvée grâce à l’administration d’abatacept.
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