Découvrez le palmarès des hôpitaux 2017

25/08/2017 Par Aveline Marques

Le CHU de Bordeaux se classe pour la deuxième année consécutive en tête du palmarès 2017 des 50 meilleurs hôpitaux publics, publié dans Le Point jeudi. Cette année, six nouvelles activités ont été prises en compte dans l'évaluation.

Le CHU de Bordeaux est désormais un habitué de la première marche du podium. Classé en tête du palmarès entre 2003 et 2005, il a regagné sa première place en 2016 et confirme sa position dominante en 2017. Le CHU de Toulouse obtient la deuxième place (+1), devant le CHU de Lille (-1). Suivent les hôpitaux universitaires de Strasbourg (4e), le CHU de Tours (5e, en hausse), l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (6e, en baisse), le CHU de Grenoble (7e) le CHU de Nantes (8e, en baisse), le CHU de Nancy (9e, en hausse) et le CHU de Rennes (10e). Pour figurer au classement final de ce palmarès indépendant, un établissement doit fournir un service médical et chirurgical complet. Six nouvelles activités ont été intégrées (la chirurgie orale, celle de la cornée, des neurinomes, des tumeurs du cerveau, la prise en charge des traumatismes crâniens et des leucémies pédiatriques), portant à 68 le nombre de pathologies analysées pour établir cette évaluation 2017. Les établissements spécialisés apparaissent, eux, dans les classements spécifiques (cancers, maladies infantiles...). Pour la 8e année consécutive, le centre hospitalier privé Saint-Grégoire (agglomération rennaise) est en tête des 50 meilleures cliniques de France. Le dossier du Point se focalise cette année sur "un fléau bien trop négligé en France" : "à cause de plaies mal ou pas du tout soignées, chaque année près de 8.000 malades sont amputés d'un membre inférieur". Des amputations qui seraient trois fois plus fréquentes en France qu'en Italie, deux fois et demie plus courantes qu'au Royaume-Uni ou en Suisse d'après le Panorama de la santé 2015 de l'organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE). Pour un spécialiste, le Dr Pierre Sérusclat, "il faut construire des centres du pied diabétique spécialisés" afin que cessent les amputations évitables. [Avec AFP]

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