La Confédération des syndicats médicaux français (CSMF), le Syndicat des médecins libéraux (SML) et la Fédération des masseurs-kinésithérapeutes rééducateurs (FFMKR) constatent, qu’actuellement, certains passages aux urgences ne sont pas justifiés et pourraient être orientés vers la ville. Les trois syndicats rappellent que le suivi et la surveillance réalisés par le kinésithérapeute, sont recommandés par la HAS et doivent continuer d’être prescrits par les médecins généralistes.
"Le secteur libéral de ville est le premier rempart à cette épidémie. Les médecins libéraux organisant la prise en charge des soins non programmés et les masseurs-kinésithérapeutes organisés en « Réseaux bronchiolites » sont prêts et mobilisés pour assurer la permanence des soins en ville. Ils attendent désormais un signal fort et des moyens de la part du ministre de la Santé pour encourager ces prises en charge dans le cadre du plan Orsan", indique le communiqué.
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