La mobilisation des radiologues libéraux et de la population de Bergerac a payé. Le tribunal administratif de Bordeaux a suspendu, mardi, la décision de l'ARS de ne pas renouveler l'autorisation de l'IRM installée à la clinique Pasteur.
Dans leur guerre contre l'ARS, les radiologues de la clinique Pasteur de Bergerac viennent de remporter une bataille. Le tribunal administratif de Bordeaux a ordonné mardi la suspension de la décision de l'ARS, qui conditionnait le renouvellement de l'autorisation de l'IRM de la clinique à son déménagement sur le site de l'hôpital public. Une décision contre laquelle les radiologues libéraux se sont battus, forts du soutien de la population. Le tribunal administratif a relevé une "erreur d'appréciation" de l'ARS, qui a préféré accorder un second IRM à l'hôpital public. Une IRM qui "ne pourra être pleinement opérationnelle avant, au plus tôt, la fin du mois d’octobre, c’est-à-dire postérieurement à la date d’expiration de l’autorisation dont bénéficie le GIE" à Pasteur, relève le juge. "L’intérêt de santé public justifie que soit maintenu en exploitation l’équipement actuellement en service." Plus de 300 patients avaient déjà pris rendez-vous au-delà du 10 octobre. Un nouvel appel à candidature a été lancé par l'ARS. [avec sudouest.fr]
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