Espérée encore, une définition plus consensuelle, à l’échelle mondiale, des grades de sévérité. « Par ailleurs, a regretté le Dr Guillaume Pouessel, Service de pédiatrie au CH de Roubaix, et Unité de pneumo-allergologie pédiatrique au CHRU de Lille lors du récent Congrès Francophone d’Allergologie (19-22 avril, Paris), si l’adrénaline est le traitement de référence, il manque des preuves scientifiques, de pharmacocinétique notamment, sur la façon dont le médicament agit en situation d’anaphylaxie ». Par ailleurs, la Société Française d’allergologie (SFA) et la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) travaillent conjointement à l’actualisation des recommandations cliniques pour la prise en charge des accidents anaphylactiques péri-opératoires.
Les experts souhaitent en particulier : la mise à disposition d’auto-injecteurs dans les établissements de second degré, l’actualisation de la conduite à tenir en cas d’anaphylaxie et de la circulaire PAI. Enfin, une compréhension plus fine des mécanismes physiopathologiques des patients à haut risque en fonction de leur phénotype et leur biologie, notamment pour les anaphylaxies au venin et aux médicaments, permet d’envisager d’autres propositions de traitement.
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