Dans cette série, 21 % des patients diagnostiqués après l’âge de 30 ans présentaient en fait un déficit en insuline sévère avec des caractéristiques immunologiques (anticorps anti-îlots) et génétiques, comparables à celles du diabète de type 1 juvénile. Pourtant, 38 % d’entre eux n’avaient pas été traités par insuline lors du diagnostic initial et 46 % pensaient eux-mêmes être diabétiques de type 2. Les auteurs de ce travail soulignent qu’un diabète de type 1 doit être évoqué lorsqu’un "diabétique de type 2" a besoin d’insuline dans les 3 ans suivant le diagnostic. Dans cette étude, 84 % des patients de plus de 30 ans, finalement diagnostiqués comme ayant un diabète de type 1, avaient développé une forte dépendance à l’insuline en moins d’1 an.
La sélection de la rédaction
Faut-il limiter la durée des arrêts de travail pouvant être prescrits par le médecin?
Fabien Bray
Non
Moi je propose de laisser la cnam se débrouiller avec les arrêts de travail. Les arrêts ça fait ***** tout le monde, moi le premi... Lire plus