Une étudiante en médecine retrouvée morte à Brest, la thèse du suicide privilégiée

Un suicide de plus, dans l'indifférence totale des politiques, des administratifs, des dirigeants d'hôpitaux et de fac, des médias aucune communication nationale, aucune réaction efficace pour amoindrir ce fléau qui coûte la vie de médecins 2,5 fois plus que dans la population générale d'après les derniers chiffres que j'ai entendus qui ne sont pas étonnants chez une profession parmi les plus travailleuse et dévouée qui n'est plus respectées dans cette société. Avec les paysans, les policiers et les médecins, ce sont les bases d'une société qui sont piétinées par des politiques hors sol qui exploitent ceux qui nourrissent, défendent et soignent. J'oublie volontairement la quatrième base d'une société humaine, l'éducation car je ne connais pas le taux de suicide des enseignants, mais on peine à les garder et les recruter, c'est dire le mépris qu'on a aussi pour eux...

Je ne sais si les suicides sont plus nombreux dans le corps de santé, des statistiques varient dans le temps Moi même à bientôt 79 ans et exerçant encore partiellement en médecine thermale ai toujours été stupéfait qu'aucun entretien psychologique sanitaire personnel n'apparaisse dans le cursus universitaire.Il y a des étudiants qui "font médecine pour soigner leur propre pathologie d'autres qui sont psychiatriquement dangereux pour autrui et on peut les retrouver dans des affaires criminelles ....Être thérapeute nécessite un minimum d'équilibre psychique qui devrait être évalué au début et au cours des études .Au burn out préférons le beurre nantais !