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11/06/2024 Par Chloé Subileau

72 communes en 20 jours. Après la dissolution de l'Assemblée nationale, officialisée par un décret présidentiel paru ce mardi 11 juin au Journal officiel, Frédéric Valletoux se (re)lance dans une campagne électorale express. L'actuel ministre délégué chargé de la Santé et de la Prévention, nommé avenue de Ségur il y a à peine plus de quatre mois, a annoncé hier sur son compte Instagram qu'il briguerait à nouveau le mandat de député de la 2e circonscription de Seine-et-Marne, qu'il avait décroché en juin 2022 sous l'étiquette Horizons. 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Une publication partagée par Frédéric Valletoux (@fredericvalletoux)

"Alors que l'extrême-droite vient malheureusement de réaliser un score historique aux élections européennes, autant en France que chez beaucoup de nos voisins européens, je mesure l'enjeu de ces élections législatives, a-t-il déclaré. J'appelle tous les démocrates et les républicains à soutenir ma candidature."

L'ancien maire de Fontainebleau et président de la Fédération hospitalière de France (FHF) aura pour suppléante Juliette Vilgrain, qui l'avait remplacé à l'Assemblée après sa nomination au Gouvernement.

La dissolution de l'Assemblée nationale et la candidature de Frédéric Valletoux ont bouleversé l'agenda ministériel : le Conseil national de la refondation (CNR) sur la santé mentale, qui devait s'ouvrir ce mercredi 12 juin, a été annulé en raison de la "période de réserve" des élus qui devaient y participer. Le ministre ne se rendra pas, non plus, comme prévu aux Assises nationales du soin qui se tiendront jeudi 13 juin à Vendôme (Loir-et-Cher). 

 

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